j’ai réussi à identifier le policier qui a donné un très violent coup de poing à un homme hier soir à Paris. Médaillé en 2019, il est membre de la 12CI, compagnie d’intervention, qui sème le chaos depuis plusieurs mois. voir le twitt et l’ article

Coups de poing et matraques : une compagnie parisienne en roue libre

Lundi 20 mars, lors des manifestations spontanées dans tout Paris, un policier a frappé violemment un homme, qui a fini inconscient au sol. La compagnie dont fait partie cet agent, la 12CI, est à l’origine de nombreuses violences depuis plusieurs mois.

Mise à jour le 22 mars 2023

D’après nos informations, l’agent ayant donné un violent coup de poing n’en est pas à sa première fois. On apprend ainsi que dans la manifestation du 1er mai 2021, il avait volontairement visé des observateurs de la Ligue de droits de l’homme (LDH). Sur les images, on voit clairement, lors d’un bond offensif, un policier s’avancer et jeter au sol un observateur, clairement identifiable avec un casque et une chasuble blanche floquée du logo de la ligue. Depuis cette date, un dossier est en cours d’instruction chez le Défenseur des Droits.


Première publication le 21 mars 2023

« Barre toi ! Casse toi ! » Lundi 20 mars soir, à proximité de Bastille, après que des manifestations sauvages ont fait trembler la capitale, un policier lance ces mots à un homme, avant de le frapper très violemment d’un coup de poing à la tête. La vidéo de la scène, filmée par le journaliste Timothée Forget, fait froid dans le dos.

Juste après le coup, l’homme tombe au sol, inconscient. Le policier s’éloigne directement et rejoint ses collègues. Sur d’autres images que Politis a pu consulter, on aperçoit la victime prise en charge par l’unité du policier, puis par des CRS. D’après plusieurs témoignages, l’homme reprend ses esprits après plusieurs minutes et quitte la scène de lui-même.

Face à la violence des images, la députée LFI, Raquel Garrido, a demandé au ministre de l’Intérieur et au préfet de police de Paris « d’arrêter le massacre. » Sur d’autres vidéos consultées par Politis, le policier en question revient tout de même sur la scène pour promulguer les premiers soins.

Dans la foulée, le préfet de police, Laurent Nuñez, a demandé un rapport sur l’incident. Les premiers signalements de témoins à l’IGPN sont arrivés dans la nuit. Le policier, récompensé le 18 mai 2019 de la médaille de la sécurité intérieure, a été rapidement entendu.

Le policier en question, membre de la 12CI – une des 6 compagnies d’interventions de Paris de jour –, était hier soir en BRAV-M. Les brigades de répression de l’action violente motorisée sont les unités motocyclistes anticasseurs inaugurées en mars 2019 par l’ancien préfet de police de Paris, Didier Lallement.

Elles ont pris le relais des détachements d’action rapide (DAR), créés au début du mouvement des gilets jaunes. Lundi soir, les compagnies d’interventions étaient fortement mobilisées particulièrement en BRAV-M. Toute la soirée, installés sur leurs grosses motos, ses membres ont chargé et interpellé plusieurs dizaines de manifestants.

Une autre vidéo de la 12CI en BRAV-M a aussi choqué l’opinion. Aux alentours de Châtelet cette fois, la compagnie charge violemment des « supposés » manifestants. L’un des agents est aperçu en train de frapper des jeunes gens sans raison et sans les interpeller. Dans le seul but de brutaliser, donc.

« Violences largement illégitimes »

Depuis plusieurs mois, cette compagnie est impliquée dans plusieurs cas de violences à coups de charges et de matraques. Reconnaissables par leurs petits dossards verts, les agents de la 12CI font grand bruit au sein même de l’institution et certains agents n’hésitent pas à parler de « dégoût » et de « violences largement illégitimes ».

Le changement de méthode de la 12CI depuis plus d’un an viendrait, pour certains policiers, du nouveau commandement au sein de cette compagnie depuis début 2021. Par exemple, lors de la manifestation du 11 mars, la 12CI (accompagné de la 31CI) charge violemment les manifestants en frappant, parfois à la tête, là aussi, sans aucun objectif d’interpellation.

Ou encore, le 24 avril 2022, quand la 12CI charge violemment des gens sur la place de la République en donnant des coups de pied. Au cours de cette scène, alors qu’un gradé ordonne un « repli », des agents continuent de courir et de frapper sur plusieurs dizaines de mètres.

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Pire, le 18 octobre 2022, lors d’une manifestation interprofessionnelle, le chef de la compagnie charge en tête – plutôt que de l’encadrer – le service d’ordre de la CGT en donnant de grands coups de matraques dans tous les sens. Suivi par ses hommes, on peut voir un des agents de la 12CI essayer carrément de retenir les coups de son chef en lui prenant le bras.

Les journalistes sont aussi la cible de la 12CI, comme le 15 mai 2021 quand un agent de la compagnie tape le téléphone du journaliste Remy Buisine avant de le plaquer contre un mur, ou encore, le 1er mai 2022 la compagnie charge d’une manière chaotique et tape manifestants et journalistes.

Et n’en déplaise à Olivier Dussopt qui a contesté, lors des questions au gouvernement de ce jour, l’utilisation par Fabien Roussel de l’expression « la répression par la matraque », la 12CI montre que c’est bien la stratégie en œuvre au sein des cortèges parisiens.

https://www.politis.fr/articles/2023/03/coups-de-poing-et-matraques-une-compagnie-parisienne-en-roue-libre/

Midazolam… Matt Hancock l ancien ministre anglais a transformé les maisons de soins en camps de concentration où les personnes âgées et vulnérables ont reçu des injections mortelles pour créer l’illusion d’une pandémie de grippe aviaire.

Matt Hancock, l’ancien ministre britannique de la santé qui a supervisé la réponse à la pandémie, devrait être en prison.

Car pendant que vous restiez chez vous pour « protéger le NHS et (prétendument) sauver des vies », Matt Hancock a orchestré l’assassinat en masse de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins en utilisant un médicament connu sous le nom de Midazolam et vous a ensuite dit qu’elles étaient toutes mortes de Covid-19 ; et nous pouvons le prouver…

Vous avez perdu plus de deux ans de votre vie à cause d’un mensonge.

Un mensonge qui a mis fin prématurément à la vie de milliers de personnes, dont on vous a dit qu’elles étaient mortes de Covid-19.

Un mensonge qui a impliqué de commettre l’un des plus grands crimes contre l’humanité de mémoire d’homme.

Un mensonge qui a nécessité trois choses : la peur, votre obéissance et un médicament connu sous le nom de Midazolam.

On nous dit qu’une maladie grave chez Covid-19 se manifeste par une pneumonie et l’insuffisance respiratoire qui l’accompagne. Les symptômes typiques sont donc l’essoufflement, la toux, la faiblesse et la fièvre.

On nous dit également que les personnes dont l’insuffisance respiratoire se détériore et qui ne reçoivent pas de soins intensifs développent un syndrome de détresse respiratoire aiguë accompagné d’un grave essoufflement.

Le midazolam est un médicament qui a été utilisé lors d’exécutions par injection létale aux États-Unis. Il peut provoquer des problèmes respiratoires graves ou mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort.

Sachant cela, utiliseriez-vous le Midazolam pour traiter des « patients » souffrant de Covid-19 ?

C’est précisément ce que le ministre de la santé de l’époque, Matt Hancock, a décidé de faire.

Les données de l’Office des statistiques nationales (ONS) montrent qu’en avril 2020, 26 541 décès ont été enregistrés dans les établissements de soins, soit une augmentation de 17 850 par rapport à la moyenne quinquennale. Ce chiffre représente la moitié du nombre de décès présumés de Covid-19 au cours de la même période.

Pourquoi ces personnes se trouvaient-elles dans des maisons de soins et non dans des hôpitaux ?

Elles étaient dans des maisons de soins parce que Matt Hancock avait donné l’ordre de les y placer…

Le 19 mars 2020, une directive a été envoyée au NHS, avec l’autorisation de Matt Hancock, demandant aux hôpitaux de faire sortir tous les patients qui, selon eux, n’ont pas besoin d’un lit d’hôpital.

Ils ont déclaré que les transferts depuis le service doivent avoir lieu dans l’heure qui suit cette décision vers une zone de sortie désignée, et que la sortie de l’hôpital doit avoir lieu dans les deux heures. Les administrations du NHS ont été informées qu’elles devaient adhérer à la nouvelle directive.

Pourquoi diable les gens seraient-ils déjà dans un lit d’hôpital s’ils n’en ont pas besoin ? On se rend à l’hôpital parce qu’on a besoin d’un traitement médical, pas parce qu’on veut s’allonger et passer une bonne nuit de sommeil.

Grâce à cette directive, les personnes qui avaient besoin d’un traitement médical et d’une attention particulière ont été transférées par milliers dans des maisons de soins.

Elle a permis à Matt Hancock d’orchestrer un génocide des personnes âgées et vulnérables afin de pouvoir vous dire que des milliers d’entre elles mouraient de Covid-19 et de justifier l’État draconien et totalitaire que son gouvernement avait imposé au pays, à l’instar de nombreux autres gouvernements dans le monde.

L’échange suivant a eu lieu lors d’une réunion de commission parlementaire le 17 avril 2020 entre Matt Hancock et le Dr Evans, député conservateur.

Le texte suivant est extrait d’un article qui confirme que le Royaume-Uni a acheté pour deux ans de midazolam en mars 2020 et qu’il envisageait d’en acheter beaucoup plus.

Les approvisionnements en midazolam, un sédatif, ont été détournés de France par « précaution » pour atténuer les pénuries potentielles dans le NHS causées par le COVID-19, a déclaré le ministère de la Santé et des Soins sociaux (DHSC) à The Pharmaceutical Journal.

Un porte-parole d’Accord Healthcare, l’un des cinq fabricants du médicament, a déclaré au Pharmaceutical Journal qu’il avait dû obtenir l’approbation réglementaire pour vendre au NHS des stocks de midazolam injectable étiquetés en France, après avoir déjà vendu deux ans de stock aux grossistes britanniques « à la demande du NHS » en mars 2020.

Le DHSC a déclaré que la demande de stocks supplémentaires s’inscrivait dans le cadre des « efforts nationaux visant à répondre à l’épidémie de coronavirus », qui comprenaient des précautions visant à « réduire la probabilité de futures pénuries ».

Pourquoi diable le Royaume-Uni aurait-il besoin d’acheter pour deux ans de Midazolam, un médicament associé à la suppression respiratoire et à l’arrêt respiratoire, pour traiter une maladie qui provoque la suppression respiratoire et l’arrêt respiratoire ?

En avril 2020, les prescriptions extrahospitalières de Midazolam ont été deux fois plus nombreuses qu’en 2019…

Selon les données officielles, en avril 2019, jusqu’à 21 977 ordonnances de Midazolam ont été délivrées, contenant 171 952 articles, la grande majorité étant du chlorhydrate de Midazolam.

Cependant, en avril 2020, 45 033 ordonnances ont été délivrées pour du Midazolam, contenant 333 229 articles, la grande majorité étant du chlorhydrate de Midazolam.

Cela représente une augmentation de 104,91 % du nombre d’ordonnances délivrées pour le Midazolam et une augmentation de 93,85 % du nombre d’articles qu’elles contenaient. Mais ces ordonnances n’ont pas été délivrées dans des hôpitaux, elles ont été délivrées par des cabinets de médecins généralistes, ce qui ne peut signifier qu’une chose : elles ont été délivrées pour des soins de fin de vie.

Le graphique suivant, affiché sur le site web du gouvernement britannique, présente les décès survenus dans les 28 jours suivant un résultat positif au test de dépistage du Covid-19, par date de décès –

Le graphique suivant a été créé à partir des données sur la quantité de solution de Midazolam produite chaque mois de janvier 20219 à mars 2021.

Voyez-vous la différence ? Nous non plus, car il n’y en a pas.

Les pics de production de solutions de Midazolam correspondent aux pics de décès présumés dus au Covid dans les 28 jours suivant un test positif.

Avril 2020 – forte augmentation des prescriptions de Midazolam en dehors des hôpitaux et forte augmentation de la production de Midazolam en solution.
Avril 2020 – forte augmentation du nombre de décès présumés dus au Covid.
Janvier 2021 – forte augmentation de la production de solutions de Midazolam.
Janvier 2021 – forte augmentation du nombre de décès présumés dus au Covid.
Ajoutez à cela le fait que –

le nombre de lits d’hôpitaux a diminué de 30 % en avril 2020 par rapport à l’année précédente.

  • A&E attendance was 57% down in April 2020 compared to the previous year.
  • Care home deaths were 205% up in April 2020 compared to April 2019.
Source Data
  • And the vast majority of alleged Covid deaths have been among people over the age of 85.

traduction

La fréquentation des services d’urgence a diminué de 57 % en avril 2020 par rapport à l’année précédente.

Les décès dans les maisons de soins ont augmenté de 205% en avril 2020 par rapport à avril 2019.

Données de base
Et la grande majorité des décès présumés de Covid ont concerné des personnes âgées de plus de 85 ans.

Il est alors très simple de voir comment Matt Hancock a orchestré ce qui équivaut à un meurtre de masse des personnes âgées et vulnérables en les forçant à entrer dans des maisons de soins, en leur refusant des soins médicaux appropriés, en les plaçant sur le parcours de fin de vie, en leur prescrivant trop de mizaolam et en étiquetant ensuite faussement les décès comme étant dus à la Covid-19.

Croyez-vous vraiment qu’il existe un virus si intelligent qu’il sait tuer les personnes handicapées ? Il suffit de regarder les statistiques de l’ONS.

Trois décès sur cinq imputés au Covid-19 sont survenus chez des personnes souffrant de difficultés d’apprentissage et de handicaps (voir ici). here).

En ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d’apprentissage, l’ONS a déclaré que « l’effet le plus important était associé au fait de vivre dans une maison de soins ou dans un autre établissement communautaire ».

Le fait d’avoir des difficultés d’apprentissage et d’être soigné ne signifie pas que vous êtes plus susceptible de mourir de la maladie de Covid-19. Ce que cela signifie, c’est que vous êtes beaucoup plus susceptible de faire l’objet d’un ordre de non-réanimation sans vous en informer ou en informer votre famille, ce que les soignants ou le personnel du NHS utilisent ensuite comme une autorisation de vous administrer des soins de fin de vie, ce qui implique l’administration de Midazolam.

Nous savons que cela s’est produit parce qu’un rapport d’Amnesty et un rapport de la CQC l’ont affirmé.

Le rapport d’Amnesty indique que

Les directeurs et le personnel des maisons de soins, ainsi que les proches des résidents des maisons de soins dans différentes régions du pays ont expliqué à Amnesty International que, selon leur expérience, l’envoi des résidents à l’hôpital était découragé ou carrément refusé par les hôpitaux, les équipes d’ambulance et les médecins généralistes. Un directeur du Yorkshire a déclaré :  » On nous a fortement découragé d’envoyer nos pensionnaires à l’hôpital : « Nous avons été fortement découragés d’envoyer des résidents à l’hôpital. Nous en parlions en réunion, nous en étions tous conscients ».

Un autre responsable du Hampshire se souvient : « Il n’y avait pas beaucoup d’options pour envoyer les résidents à l’hôpital :

Il n’y avait pas beaucoup d’options pour envoyer les gens à l’hôpital. Nous avons réussi à envoyer une patiente à l’hôpital parce que l’infirmière a été très ferme et a insisté sur le fait que la dame était trop mal à l’aise et que nous ne pouvions rien faire de plus pour la mettre à l’aise, mais que l’hôpital pouvait le faire. À l’hôpital, la dame a été testée positive au COVID et a été traitée ; elle a survécu et est revenue. Elle a 92 ans et est en pleine forme.

Elle m’a expliqué que :
On présumait que les personnes vivant dans des maisons de soins allaient toutes mourir si elles contractaient le COVID, ce qui est faux. Cela montre à quel point le gouvernement ne connaît pas la réalité des maisons de retraite ».

Le fils d’un résident d’une maison de soins décédé en Cumbria a déclaré qu’il n’avait même pas été envisagé d’envoyer son père à l’hôpital :

Dès le premier jour, la maison de soins a catégorisé qu’il s’agissait probablement du COVID, qu’il en mourrait et qu’on ne l’emmènerait pas à l’hôpital. À ce stade, il n’avait qu’une toux. Il n’avait que 76 ans et était en pleine forme physique. Il aimait sortir et cela n’aurait pas été un problème pour lui d’aller à l’hôpital. La maison de soins m’a appelé pour me dire qu’il avait des symptômes, une légère toux, que le médecin l’avait évalué par téléphone portable et qu’il ne serait pas transporté à l’hôpital.

J’ai ensuite parlé au médecin généraliste plus tard dans la journée et lui ai dit qu’il ne serait pas emmené à l’hôpital mais qu’on lui donnerait de la morphine s’il souffrait. Plus tard, il s’est effondré sur le sol dans la salle de bains.
Plus tard, il s’est effondré sur le sol dans la salle de bain et la maison de soins a appelé l’ambulancier qui a constaté qu’il n’avait pas de blessure et l’a remis au lit en disant aux soignants de ne pas les rappeler pour des symptômes liés au Covid car ils ne reviendraient pas. Il est décédé une semaine plus tard.

Il n’a jamais été testé. Aucun médecin ne s’est jamais rendu à la maison de repos. Le médecin généraliste l’a évalué par téléphone. Dans une situation identique pour une personne vivant à domicile plutôt que dans une maison de soins, le conseil était « d’aller à l’hôpital ». Le certificat de décès fait état d’une pneumonie et d’un COVID, mais la pneumonie ne nous a jamais été mentionnée.

Le directeur d’une maison de retraite du Yorkshire a déclaré à Amnesty International :  » En mars, j’ai essayé d’obtenir [le certificat de décès] :
En mars, j’ai essayé de faire hospitaliser [un résident] – l’ambulance avait engagé un médecin pour faire le triage, mais ils ont dit : « De toute façon, il est en fin de vie, donc nous n’allons pas envoyer d’ambulance »… Dans des circonstances normales, il aurait dû aller à l’hôpital… Je pense qu’il avait le droit d’être admis à l’hôpital. Il s’agit de personnes qui ont contribué à la société toute leur vie et qui se sont vu refuser le respect et la dignité que l’on accorderait à une personne de 42 ans ; elles ont été [considérées] comme sacrifiables ».

En août 2020, le CQC a jugé nécessaire de publier une déclaration sur la question des DNR inappropriés imposés aux résidents des maisons de soins sans que les résidents ou leurs familles en soient informés – « Il est d’une importance vitale que les personnes âgées puissent bénéficier de soins de qualité.

Il est d’une importance vitale que les personnes âgées et handicapées vivant dans des maisons de soins et dans la communauté puissent avoir accès à des soins hospitaliers et à des traitements pour le COVID-19 et d’autres maladies lorsqu’elles en ont besoin pendant la pandémie… Les prestataires doivent toujours s’efforcer de prévenir les dommages évitables ou la mort pour tous ceux dont ils s’occupent.

Les protocoles, les lignes directrices et les systèmes de triage doivent être fondés sur l’égalité d’accès aux soins et aux traitements. S’ils reposent sur des hypothèses selon lesquelles certains groupes ont moins droit aux soins et aux traitements que d’autres, il s’agirait d’une discrimination. Cela pourrait également constituer une violation des droits de l’homme, y compris du droit à la vie, même si l’on craint que la capacité de l’hôpital ou des soins intensifs ne soit atteinte ».

Cette déclaration a été publiée parce que le CQC a constaté que 34 % des personnes travaillant dans le domaine de la santé et des soins sociaux ont subi des pressions pour placer des ordonnances de non-réanimation cardio-pulmonaire (DNACPR) sur des patients Covid souffrant de handicaps et de difficultés d’apprentissage, sans impliquer le patient ou sa famille dans la décision.

En 2013, après une révision, il a été décidé d’abolir le « Liverpool Care Pathway » (parcours de soins de Liverpool). Le « Liverpool Care Pathway » (LCP) est un programme dont on nous a dit qu’il visait à améliorer la qualité des soins dans les dernières heures ou les derniers jours de la vie d’un patient.

Son objectif présumé était d’assurer une mort paisible et confortable. Le LCP était un guide destiné aux médecins, aux infirmières et aux autres professionnels de la santé qui s’occupaient d’une personne mourante, sur des questions telles que le moment approprié pour retirer les tubes permettant d’apporter de la nourriture et des fluides, ou le moment d’arrêter les médicaments.

S’il a été décidé de le supprimer, c’est parce que l’étude a révélé que le personnel hospitalier interprétait de manière erronée ses conseils en matière de soins aux mourants, ce qui a donné lieu à des récits de patients drogués et privés de liquides au cours de leurs dernières semaines de vie.

Les preuves suggèrent que le Liverpool Care Pathway est revenu en force en avril 2020 sous la direction du ministre de la santé Matt Hancock, des conseillers du gouvernement et des chefs du NHS, et il semble qu’il ait été utilisé pour vous manipuler et vous faire renoncer à deux ou trois ans de votre vie sous prétexte que vous restiez chez vous, afin de protéger le NHS et de sauver des vies.

Mais en réalité, pendant que vous faisiez ce qu’on vous demandait, Matt Hancock a orchestré le meurtre en masse de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins à l’aide d’un médicament appelé midazolam, avant de vous dire à tort qu’elles étaient toutes mortes de Covid-19.

C’est pourquoi « Midazolam Matt » Hancock devrait être en prison dès maintenant.

Un commerçant tabassé par la BRAV-M témoigne à France info …. »J’ai été tabassé par cinq mecs, c’étaient des bêtes. À aucun moment, je n’ai essayé de courir ou de me débattre. Je me suis fait tabasser gratuitement… »

Une enquête a été ouverte mardi 21 mars par le parquet de Paris et confiée à l’IGPN après la diffusion d’une vidéo tournée pendant une manifestation lundi soir contre la réforme des retraites à Paris. On y voit un manifestant violemment frappé au visage par un policier. Depuis plusieurs jours, des dizaines de vidéos de ce genre circulent sur les réseaux sociaux et des députés ainsi que des magistrats dénoncent des violences policières.

>> INFO FRANCEINFO. Réforme des retraites : trois députés LFI demandent la dissolution de la Brav-M à Gérald Darmanin

Des coups de matraque « gratuits et extrêmement violents »

Les manifestants, qui dénoncent des violences perpétrées par les forces de l’ordre, ont tous ont plus ou moins le même récit : un cortège plutôt calme et tout à coup l’intervention violente des forces de l’ordre. Gabin, 18 ans, défilait avec un ami lundi soir : « J’ai été frappé à la matraque au visage et sur la joue droite, dans la jambe. J’ai un bleu, mais moi, j’ai eu relativement la chance d’avoir une grosse doudoune. Mon ami, lui, s’est pris beaucoup de coups de matraque, dont un, à la fin, dans le crâne. Il a eu le crâne ouvert. C’était gratuit et extrêmement violent. »

Le même soir, une autre manifestante que nous appellerons Claire raconte aussi avoir été plaquée par un policier puis violemment frappée : « J’avais le visage contre le kiosque, donc je ne voyais pas ce qui se passait derrière moi. Mais il y en a un qui m’a effectivement donné un bon coup de matraque dans le ventre. Pour moi, c’est clairement de l’acharnement et honnêtement, il n’y avait pas de raison. »

Des coups et une épaule déboîtée : 10 jours d’ITT

Cet acharnement gratuit que dénonce Claire, un homme affirme l’avoir vécu ce même soir, lundi. Encore choqué par ce qu’il a vécu, il veut rester anonyme. Il raconte un déchaînement de violence. « J’étais rue de Rivoli et je suivais la manifestation de loin, raconte ce commerçant, venu assister dit-il en simple spectateur à la manifestation. J’étais là par curiosité, à l’arrière du cortège. À un moment, des policiers de la Brav-M sont arrivés à moto et ont chargé. Je me suis un peu éloigné. Ils ont tabassé une jeune fille de l’autre côté de la rue, je regardais la scène de loin. Tout à coupdeux Brav-M sont arrivés sur moi à pied. J’ai senti qu’ils allaient me charger, mais je n’avais rien à me reprocher. Je n’ai pas bougé, ils ont couru vers moi, en criant : ‘Il y a quoi dans ton sac ?’ J’ai levé les bras et dit qu’ils pouvaient regarder dans le sac. L’un des policiers a regardé autour de lui, il n’y avait presque personne, et là, il m’a asséné un gros coup de poing au niveau de la mâchoire. Son collègue m’a aussi frappé et donné un coup de matraque. »

>> Manifestations et maintien de l’ordre : « On est retombés dans une logique de confrontation », explique un spécialiste des questions de police et de sécurité

D’autres policiers Brav-M courent à ce moment-là vers lui. « Ils commencent à me taper au sol, avec des coups de genoux dans la tête brutalement, des coups de pied, de toute part. Ensuite, un policier m’a fait soit une clé de bras, soit il a mis tout son poids sur mon épaule, jusqu’à me déboîter l’épaule. » 

« J’ai poussé un cri terrorisé. Je pensais que ça allait continuer éternellement, qu’ils allaient me terminer. »Un commerçant

à franceinfo

Selon lui, « à un moment, les policiers se sont calmés. Le capitaine, qui était plus vieux que les autres, est arrivé. J’ai expliqué que je ne pouvais pas me relever à cause de mon épaule. Il m’a dit que je faisais du cinéma. Il m’a tiré. Ils ont fouillé mon sac à dos et ils n’ont rien trouvé à part un cache-cou parce que je fais du vélo. Ils ont jeté mon sac par terre. Le capitaine a dit : ‘T’as de la chance, on a été gentils avec toi cette fois. La prochaine fois, on sera vraiment méchants’. » Les policiers partent et le laissent sur place. « Heureusement, un témoin m’a aidé. Je ne pouvais pas ramasser mon sac, j’avais l’épaule luxée ou déboîtée. Il m’a aidé à prendre un taxi jusqu’à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu. J’ai eu dix jours d’ITT [Incapacité totale de travail]. J’ai une atèle, et encore de grosses douleurs. J’ai aussi un hématome à la mâchoire, et aussi une douleur derrière le crâne. » 

L’homme ne comprend toujours pas « ce qu’il s’est passé » : « Je n’ai pas dormi de la nuit. Je me suis refait la scène toute la nuit. Je suis sous le choc, c’est surréaliste ce qu’il m’est arrivé. J’ai été tabassé par cinq mecs, c’étaient des bêtes. À aucun moment, je n’ai essayé de courir ou de me débattre. Je me suis fait tabasser gratuitement… »

Des jeunes femmes « arrêtées sans aucune raison »

Autre témoignage, celui d’Aesa, un étudiante de 23 ans. Elle ne se dit pas victime de violence, mais d’arrestation abusive. Dimanche soir, elle manifeste avec une amie dans les rues de Paris. L’ambiance est bon enfant, dit-elle. Pas d’incendie, pas de violences. Pourtant, vers 20h, les deux jeunes femmes se retrouvent bloqués dans une rue par les forces de l’ordre, puis embarquées dans un fourgon avec dix autres jeunes femmes. « Au commissariat, ils étaient tous un peu excédés de nous avoir. Ils savaient très bien qu’on n’avait rien fait, qu’il n’y avait aucun fondement. En fait, les policiers qu’on voit nous disent : ‘C’est ridicule, ça va être classé sans suite, ça n’a aucun sens, on a mieux à faire de nos journées’. Ils savaient tous qu’on était là pour aucune raison, qu’on n’avait rien fait de mal. 100% des filles qui étaient avec nous étaient interpellés pour la première fois. On l’a toutes vécu comme une injustice et c’est vraiment juste de l’arbitraire, pour faire du chiffre, pour impressionner, et en même temps pour intimider les manifestants en disant : le simple fait d’aller manifester peut vous mettre dans des situations où vous êtes privés de liberté pendant une vingtaine d’heures. »

Aesa et les autres jeunes femmes âgées de 17 à 35 ans ont toutes été relâchées sans poursuites. Parmi elles, des manifestantes, mais aussi une bachelière qui sortait de ses examens, une étudiante qui rentrait chez elle, une autre qui sortait du cinéma. Plusieurs réfléchissent en ce moment à déposer une plainte collective pour dénoncer cette arrestation.

Plusieurs observateurs dénoncent aussi des interpellations massives. Un chiffre résume bien la situation entre jeudi et samedi, 425 personnes ont été interpellées à Paris, mais seules 42 ont été présentés à un juge. Ça fait une sur dix en moyenne. Plusieurs avocats contactés par franceinfo nous disent avoir assisté en garde à vue des simples passants, des touristes ou des Parisiens qui ne faisaient que marcher dans la rue et qui se sont retrouvés dans une cellule de commissariat pendant plusieurs heures, sans aucune raison. Le Syndicat de la magistrature et même la Défenseure des droits sont aussi montés au créneau. Mais pour le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, interrogé mercredi matin sur France Info, il n’y a eu à Paris aucune interpellation abusive

https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/temoignages-je-me-suis-fait-tabasser-gratuitement-plusieurs-manifestants-contre-la-reforme-des-retraites-denoncent-des-violences-policieres_5724542.html

La Russie met en garde la Grande-Bretagne contre la fourniture à l’Ukraine d’obus à l’uranium appauvri

par Christelle Néant

Le 20 mars 2023, Annabelle Goldie, ministre d’État à la Défense britannique, a annoncé qu’en plus de fournir des chars Challenger 2 à l’Ukraine, la Grande-Bretagne fournirait aussi des obus à l’uranium appauvri, que la Russie considère comme des bombes sales. Moscou a mis en garde Londres contre cette nouvelle escalade militaire.

Le 6 mars 2023, Lord Hylton, membre de la chambre des Lords, demande au gouvernement britannique si les munitions actuellement fournies à l’Ukraine par la Grande-Bretagne, incluent des obus à l’uranium appauvri.

Deux semaines plus tard, Annabelle Goldie, ministre d’État à la Défense, répond qu’en plus des chars d’assaut Challenger 2, la Grande-Bretagne prévoit de lui fournir des obus à l’uranium appauvri.

« Parallèlement à l’octroi d’un escadron de chars d’assaut Challenger 2 à l’Ukraine, nous fournirons des munitions, notamment des obus perforants contenant de l’uranium appauvri. Ces munitions sont très efficaces pour détruire les chars et les véhicules blindés modernes », indique sa réponse sur le site de la chambre des Lords.

Selon la Chronique militaire, ils s’agirait d’obus britanniques anti-blindage de 120 mm de type L26A1 et L27A1. Ces obus constituent une menace importante pour toutes les modifications des chars T-72B, T-72B3M et T-80BV, même lorsqu’ils sont tirés sur l’avant. Par contre, les zones frontales des chars améliorés T-80BVM, T-90A et T-90M Proryv sont capables de résister à ces types de projectiles.

Ces munitions utilisent l’uranium appauvri comme substitut au tungstène (car moins cher et disponible en quantité), matériau très dense, qui permet de percer les blindages des chars d’assaut et autres véhicules blindés. Le problème c’est qu’une partie de l’uranium appauvri est dispersé dans la zone où il explose, contaminant les êtres humains, la faune, la flore, le sol et les nappes phréatiques !

Ces munitions ont été utilisées entre autres pendant la première guerre du Golfe, la guerre en ex-Yougoslavie et la guerre en Irak, où des hausses importantes de cancers et de malformations des bébés ont été observées. Sans parler des soldats qui ont été en contact avec ces munitions, qui souffrent pour certains de problèmes de santé regroupés sous le terme « syndrome du Golfe » ou « syndrome des Balkans ».

C’est d’ailleurs pour cela, qu’en janvier 2023, alors que des rumeurs de fournitures à l’Ukraine de munitions à l’uranium appauvri circulaient déjà, Konstantin Gavrilov, chef de la délégation russe aux pourparlers à Vienne sur la sécurité militaire et le contrôle des armements, avait déclaré que la Russie considérerait cela comme équivalent à l’utilisation de bombes nucléaires sales.

« Nous mettons en garde les sponsors occidentaux de la machine de guerre de Kiev contre l’encouragement à la provocation et au chantage nucléaires. Nous savons que le char Leopard 2, ainsi que les BMP Bradley et Marder, sont armés d’obus perforants de sous-calibre avec des noyaux d’uranium, dont l’utilisation entraîne la contamination de la zone, comme cela s’est produit en Yougoslavie et en Irak. Si de tels obus sont fournis à Kiev pour l’équipement militaire lourd de l’OTAN, nous considérerons cela comme l’utilisation de bombes nucléaires sales contre la Russie, avec toutes les conséquences qui en découlent », a déclaré le diplomate lors du Forum de l’OSCE pour la coopération en matière de sécurité.

Suite à l’annonce des Britanniques, Gavrilov a rappelé cette mise en garde et a prévenu que la Russie répondrait à la fourniture à l’Ukraine d’obus à l’uranium appauvri de manière adéquate.

« Dans le cas où de tels obus pour l’équipement militaire lourd de l’OTAN seraient fournis à Kiev et qu’ils seraient utilisés, nous réagirons de manière adéquate. Nous avons déjà mis en garde à ce sujet », a déclaré Gavrilov, qui a ajouté que « la décision des autorités britanniques est un nouveau pas vers l’abîme de l’escalade ».

« Ses conséquences imprévisibles retomberont entièrement sur Londres, ses associés et le régime terroriste criminel de Kiev », a conclu le diplomate.

« Dans leur tentative de contrarier notre pays, les pays agressifs de l’OTAN ont complètement perdu le contact avec la réalité. Les Anglo-Saxons ont depuis longtemps adopté le principe selon lequel tout est permis contre la Russie », a également noté M. Gavrilov.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que Londres a déjà perdu ses repères dans la façon dont ses actions compromettent la stabilité stratégique dans le monde.

« Je ne serais surpris de rien, car ils ont déjà perdu leurs repères en ce qui concerne la façon dont leurs actions sapent la stabilité stratégique dans le monde », a déclaré le ministre, qui a ajouté que « cela se terminera mal pour eux ».

M. Lavrov a également déclaré que la Grande-Bretagne était prête à prendre non seulement des risques, mais aussi à commettre des crimes de guerre, en commentant les projets britanniques de fournir à l’Ukraine des obus à l’uranium appauvri.

« Si cela est vrai, cela signifie qu’elles (les autorités britanniques, ndlr) sont prêtes non seulement à prendre des risques, mais aussi à violer le droit humanitaire international, comme ce fut le cas en Yougoslavie en 1999, et bien d’autres choses qu’elles se permettent, y compris des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité », a déclaré Sergueï Lavrov.

Le sénateur de Crimée, Sergueï Tsekov a même estimé que le Conseil de Sécurité de l’ONU devrait soulever la question de l’inadmissibilité de fournir à l’Ukraine des obus à l’uranium appauvri.

« Il s’agit d’une sorte d’entre-deux entre une « bombe sale » et des obus conventionnels », a déclaré le sénateur.

Il a souligné que la Russie devrait s’exprimer « à ce sujet, je pense, y compris au Conseil de sécurité des Nations unies », et s’y opposer fermement. En outre, Tsekov a déclaré qu’il fallait dire au Royaume-Uni « qu’il finira par payer pour sa politique » et que les déclarations des responsables militaires britanniques sont révélatrices de l’identité de ceux qui jettent de l’huile sur le feu.

« Ils sont prêts à utiliser tout ce qui peut causer des dommages au territoire ukrainien, quel que soit celui qui le contrôle », a déclaré le législateur.

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova a aussi rappelé que ces obus seront aussi nocifs pour les soldats ukrainiens.

« Scénario yougoslave. Ces obus ne tuent pas seulement, ils contaminent aussi l’environnement et provoquent des cancers chez les personnes vivant sur ces terres. Par ailleurs, il est naïf de croire que les victimes seront uniquement celles contre lesquelles tout cela sera utilisé. En Yougoslavie, ce sont les soldats de l’OTAN, en particulier les Italiens, qui ont souffert en premier lieu. Ils ont ensuite longtemps tenté d’obtenir de l’OTAN des compensations pour leur santé perdue. Mais leurs demandes ont été rejetées. Quand l’Ukraine se réveillera-t-elle ? Je ne parle pas des toxicomanes de Bankova. Je parle de ceux qui sont encore capables de penser. Leurs bienfaiteurs les empoisonnent », a-t-elle écrit sur sa chaîne Telegram.

Pour sa part, le Président russe, Vladimir Poutine a déclaré comme Konstantin Gavrilov, que la Russie sera obligée de réagir si l’Occident fournit à l’Ukraine des obus à l’uranium appauvri.

« Aujourd’hui, on a appris que la Grande-Bretagne, par la bouche de son vice-ministre de la défense, a annoncé non seulement des livraisons de chars à l’Ukraine, mais aussi d’obus à l’uranium appauvri. Il semble que l’Occident ait décidé de combattre la Russie jusqu’au dernier Ukrainien, non pas en paroles, mais en actes », a déclaré Vladimir Poutine.

Selon le Président, si tout cela s’avère exact, la Russie sera contrainte de réagir en conséquence « en gardant à l’esprit que l’Occident commence déjà à utiliser des armes à composante nucléaire ».

La réaction russe semble avoir poussé l’ONU à réagir elle aussi. L’organisation, par la voix du porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU, Farhan Haq, s’est dite préoccupée par l’utilisation d’uranium appauvri quel que que soit l’endroit dans le monde.

« Vous avez pu constater que nous exprimons depuis des années des inquiétudes quant à l’utilisation d’uranium appauvri, compte tenu des conséquences d’une telle utilisation. Et cela vaut pour tous ceux qui fournissent de telles armes », a déclaré M. Haq.

Il reste à espérer que la mise en garde de la Russie stoppera la Grande-Bretagne dans son projet criminel de fournir des obus à l’uranium appauvri à l’Ukraine.

Christelle Néant

source : Donbass Insider