Les procureurs démocrates partisans de Manhattan et du comté de Fulton, en Géorgie, sont impatients d’inculper le président Trump.
Il en va de même pour Merrick Garland et le ministère de la justice de Biden.
Pour des crimes qui n’en sont pas.
Si vous ne pouvez pas le battre, mettez-le en accusation.
Jetez un œil à mon dernier article d’opinion dans
@WashTimes

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La militarisation du système juridique atteint un nouveau niveau
Les démocrates cherchent davantage à cibler leurs opposants politiques qu’à protéger les citoyens.
L’ancien président Donald Trump fait une pause alors qu’il s’exprime lors d’un événement de campagne, lundi 13 mars 2023, à Davenport, dans l’Iowa. (AP Photo/Ron Johnson)
L’ancien président Donald Trump prend la parole lors d’un événement de campagne, le lundi 13 mars 2023, à
Par Mike Davis – – Vendredi 17 mars 2023
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Si l’on en croit les informations, les procureurs du comté de Fulton, en Géorgie, et de Manhattan annonceront bientôt la mise en accusation de Donald Trump.
L’inculpation à New York semble particulièrement imminente. Le procureur de Manhattan, Alvin Bragg, est bien décidé à inculper M. Trump. En fait, le bureau du procureur de la ville de New York cherche depuis 2017 tous les moyens d’inculper l’ancien président. L’enquête a porté sur la vie personnelle et professionnelle du président Trump. Ils auraient décidé d’inculper Donald Trump pour le non-crime de son avocat Michael Cohen qui a versé de l’argent à Stormy Daniels pour un règlement à l’amiable.
Même le New York Times admet que l’affaire n’est pas gagnée d’avance : « L’affaire contre l’ancien président repose sur une théorie juridique non testée et donc risquée, impliquant une interaction complexe de lois. »
Cela n’a pas d’importance. Pour les procureurs libéraux de New York, Donald Trump est le seul à être mauvais. Mark Pomerantz, qui a enquêté sur Donald Trump pour le bureau du procureur de la ville de New York, révèle dans son livre qu’on lui a demandé en 2017 de rejoindre le bureau du procureur dans le seul but de s’en prendre à M. Trump. M. Pomerantz a écrit que, contrairement à la poursuite de « tueurs », la perspective de poursuivre M. Trump le rendait émotif, car M. Trump le « dégoûtait ».
L’ancien procureur a écrit qu’il « aurait payé le bureau du procureur pour avoir la possibilité de poursuivre le président Trump ».
Ce zèle à s’en prendre aux opposants politiques du parti démocrate tout en ignorant les vrais criminels commence par les dirigeants du bureau du procureur de Manhattan. Le New York Post a découvert que « le procureur de Manhattan, Alvin Bragg, qui est favorable à la criminalité, a déclassé plus de la moitié de ses affaires criminelles en délits mineurs – tout en réussissant à perdre la moitié des affaires criminelles qui arrivent devant les tribunaux ».
M. Bragg ne trouve pas le temps de poursuivre les crimes dans son district et de protéger les citoyens qui paient son salaire, mais il a tout le temps de poursuivre un programme partisan contre M. Trump. Il s’agit d’une tentative de saper un candidat à la présidence afin de s’attirer les faveurs des responsables démocrates tout en ignorant les préoccupations des New-Yorkais face à la hausse de la criminalité dans la ville de New York.
Les frasques juridiques partisanes ne s’arrêtent pas à New York. Le procureur du comté de Fulton, Fani Willis, a convoqué un grand jury spécial à Atlanta pour tenter d’inculper M. Trump. La présidente du grand jury spécial a fait une tournée nationale des médias, où elle a fantasmé avec allégresse sur la possibilité de faire tomber M. Trump.
M. Willis semble cibler M. Trump pour des actions qui sont protégées par le premier amendement. Il n’est illégal de contester les résultats d’une élection que dans les pays marxistes du tiers-monde. Il n’est pas criminel de faire du lobbying auprès d’autres politiciens. Si le tordage de bras politique était illégal, tous les hommes politiques américains seraient en prison.
Ces deux poursuites ont pour but de mettre M. Trump à genoux à l’approche de l’élection présidentielle de 2024. M. Trump reste le favori des Républicains et devance Joe Biden dans les derniers sondages.
Ces procureurs tentent de forcer M. Trump à se retirer de la course avec des théories juridiques bidon – celle de M. Bragg a même été essentiellement rejetée par le quotidien libéral New York Times – parce qu’ils sont terrifiés à l’idée d’une élection équitable.
https://www.washingtontimes.com/news/2023/mar/17/weaponization-legal-system-reaches-new-level/